Le chanteur congolais Fally Ipupa est tombé sous le charme d'une ivoirienne. Il l'a connu, il y a quelques années à Abidjan à la faveur d'un concert qu'il devait donner. Depuis, ils sont devenus inséparables. Quand bien même, ils ont choisi de vivre leur idylle dans la plus grande discrétion. Les deux tourtereaux projettent même de se marier dans les mois à venir.
Par ailleurs, la demoiselle n’hésite pas à tacler tous ceux qui traitent son futur époux d’homosexuel. « C’est un homme ordinaire. Il aime la femme que je suis. Et moi aussi je l’aime. Il n’est pas homosexuel », rétorque-t-elle selon l’un de ses proches. Fally Ipupa avait déjà annoncé à la presse qu’il aime les femmes ivoiriennes et qu’il souhaitait vivre une histoire d’amour avec une ivoirienne. Il a maintenant trouvé sa dulcinée. Tu peux aussi lire mes secrets de séductions que je donne sur |
L es Baoulé et les Agnis font partis du grand groupe Akan originaire du Ghana. Ils vivent essentiellement au centre de la Côte d’Ivoire pour les premiers et à l’est du même pays pour les seconds. Comme chez la plupart des peuples africains, le mariage chez ces deux peuples n’est pas seulement l’union entre deux individus, mais c’est surtout celle de deux familles. C’est pourquo i, la célébration d’un mariage est précédée de longues et patientes discussions entre les familles des futurs conjoints. Même si c’est l’homme qui fait le pas et décide d’épouser la femme, l’avis favorable de cette dernière est essentiel pour que le mariage ait effectivement lieu. A la différence d’autres peuples chez qui l’on impose un époux à la jeune fille ou une épouse au jeune en âge de se marier, il n’y a pas de mariage forcé chez les Baoulé et Agni. LES DIFFERENTES ETAPES DU MARIAGE TRADITIONNEL : 1- LE “KOKO” OU LA CEREMONIE DES FIANÇAILLES Chez les deux peuples, le “Kôkô” est l’étape qui fait office ...
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