Accéder au contenu principal

La CONFESSION de la semaine


Résumé de la confession de la semaine : Alice se dispute tout le temps avec son copain et pour se réconcilier, ils font l'amour. Mais c'est tout le temps pareil, elle commence à douter des sentiments de celui-ci surtout qu'il met ses amis avant leur relation. Elle a besoin de vos avis.

Bonsoir Serge


Je n'arrive plus à comprendre mon homme et j'ai besoin de ton avis et de celui des personnes qui suivent ton blog.

Cela fait plus d'un an que nous sortons ensemble. Nous nous sommes rencontrés à un anniversaire puis à un mariage nous avons échangé les contacts et tout a commencé.

Le problème c'est que durant ces un an nous nous disputant presque tout le temps et après, pour nous réconcilier nous faisons l'amour et tout redevient comme avant.

Mais, c'est toujours la même chose et je commence à douter de son amour pour moi. De plus, il est de moins en moins attentionné et met ses amis avant notre relation.

On ne sort presque jamais ensemble, pas de diner entre amoureux, pas de piscine, rien. Mais ,vu qu'il est encore étudiant, je ne lui en demande pas trop.

Je veux juste le comprendre et agi de façon à le garder le plus possible avec moi. Je l'aime vraiment. Merci.

Alice


Rendez vous la vendredi 22 novembre 2016 pour votre conseil.

Aidez-moi à  donner un conseil à Alice . Lisez sa confession et laissez un commentaire merci. 
Je vous invite à lire d'autres confessions cliquez sur </3 .
Vous connaissez une personnes qui vit la même histoire? Partage cet article avec elle.Merci. 
Vous aussi envoyez-nous votre confession sur confessionetconseil@gmail.com .
Rendez-vous le samedi prochain pour une nouvelle confession. 
Au cas où vous avez envie de passer à autre chose nous vous invitons à visiter mon blog de séduction clique sur :* 

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Poème : Le travail de mille générations

Des difficultés, des regrets, des si je savais, des générations en destruction Des amis qui soutiennent, des sourires sur des lèvres, le cœur suit les instructions Des briques, du ciment, un peu d’eau de l’espoir en construction La jeunesse   prend des décisions Loin des vices En tête de liste Père fier du fils Mère fière de miss Pas de place pour le découragement Des sueurs et des sueurs derrières chaque réussites Loin des pessimistes Aucun diplôme ne vaut un engagement Bonne fête du travail ! 

Poème : Lettre à ma fille Aka Ahouré Ophira Séona

  Salut Aka Ahouré Ophira Séona, Ton prénom signifie « Or » et « Dieu fait grâce » Dès tes premières secondes sur terre, dans notre cœur, tu as pris toute la place Salut fille d’une surdouée et d’un battant   Fille, d’une réaliste et d’un rêveur patient En ce 18 juillet 2023, tu souffles une première bougie de victoire Salut, Femme pieuse, sage, intelligente, femme battante C’est pour toi que le soleil sourit   C’est pour toi que le coq chante C’est pour toi cette étoile qui brille Tu es ma source de motivation Tes pleurs me rappellent que je suis fort, Ton sourire éclaire mes peurs et efface mes lamentations Je t’aime ma fille, je t’aime mon enfant, je t’aime fort La vie commence maintenant pour toi ; Elle ne sera pas toujours facile, mais je serai là, Tu seras belle, intelligente, forte, une bosseuse Avec ta mère, nous te donnerons la meilleure éducation possible… Joyeux anniversaire mon sang… Je t’aime ! Grande tu liras ce poème, tu comprendras

Poème : Et le coronavirus rit

Sourire cache nez-tizé  L’espérance prend son envole  Chine ? France ? USA ? Qui le contrôle ?  Aucune émotion dévoilée, la peur de s’embrasser  Et coronavirus rit Et coronavirus crie  Et coronavirus périt Et coronavirus ne trie  La tristesse dans chaque regard  Confinement, couvre-feu fermeture des frontières  Envie de retourner dans le calme de 2019, hier  Les jeunes le cherchent, aucun secret dans la case du sage vieillard Et la nature rit  Et la nature respire  Et la nature grandit  Et la nature sourire  Le monde va mieux, barrit l’éléphant  La couche d’ozone ira mieux prédit les climatologues  Papa et maman passent plus de temps avec nous jubilent les enfants  Et le poète chérissant sa plume, lui promet de ne plus faire de monologue