À l’aube de nos corps,
S’effacent des rêves embourbés.
À nos aurores entrelacées,
Où nos cœurs ont cédé,
Décidés à ne s’en prendre qu’à eux.
S’effacent des rêves embourbés.
À nos aurores entrelacées,
Où nos cœurs ont cédé,
Décidés à ne s’en prendre qu’à eux.
J’ai hachuré ses reliefs,
Ces tambours allégés,
Ces courbes sculptées à la hache,
En forme de « i ».
Ces tambours allégés,
Ces courbes sculptées à la hache,
En forme de « i ».
J’ai calqué son sourire de magie,
Qu’arrosent des larmes avec fracas.
Elle qui aime...
… sans haine,
Un brin plus haut,
À l’éclat de cette étincelle enveloppée,
Qu'elle a vaincue.
Qu’arrosent des larmes avec fracas.
Elle qui aime...
… sans haine,
Un brin plus haut,
À l’éclat de cette étincelle enveloppée,
Qu'elle a vaincue.
Tu erres dans mes vers,
…. déesse !
Fleur-beauté
Une histoire qu’on aurait pas eue.
Un amour en cuvée...
Double vérité,
Sans itinéraire fixe
Sans Y périr.
Que le ciel nous aide !
…. déesse !
Fleur-beauté
Une histoire qu’on aurait pas eue.
Un amour en cuvée...
Double vérité,
Sans itinéraire fixe
Sans Y périr.
Que le ciel nous aide !
Israël Yoroba GUEBO. Extrait de « À l'Aube de ton silence ». Luxembourg. Juillet 2017.
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